Un tout, tout grand merci à Bernard Cohen d’organiser le symposium de la Société
Internationale d’Otoneurologie pour la 2ème fois en deux ans ! Remarquable, Formidable,
Admirable ! Quel courage, quelle débauche d’énergie, à notre intention ! Et une décision qu’il
a prise rapidement, avec enthousiasme, malgré un délai très court pour organiser ce 44ème
symposium.
Et les temps sont de plus en plus difficiles. Les sponsors se font de plus en plus rares et sont de moins en moins généreux. Pas tant par leur volonté mais en raison de nouvelles législations. ‘Ces médecins gagnent trop d’argent, profitent trop du système, sont pervertis par leurs fournisseurs’. Et vous les législateurs et politiciens, voyagez-vous, mangez-vous à vos seuls frais ?
La méfiance (mêlée d’un sentiment de vengeance ?) à l’égard des médecins est bien illustrée par les directives de l’institution hospitalo-universitaire genevoise en matière de relations avec l’industrie privée : la direction de notre institution interdit la visite des représentants de maisons pharmaceutiques aux médecins des services hospitaliers ! Pourtant, dans l’exercice de leur profession libérale, une fois installés en pratique privée, les médecins seront un jour confrontés à rencontrer ces représentants, venus leur vanter les avantages de tel ou tel médicament. Ils devront bien alors développer leur sens critique ! Et la médecine n’a-t- elle jamais bénéficié de ses contacts avec l’industrie privée ?
Notre institution ajoute encore que les médecins ont l’interdiction de recevoir les moindres cadeaux de ces ‘représentants- monstres-de-perversion’, … à l’exception de crayons, stylos, ou bloc notes !!! Tiens, tiens, tiens, des dépenses en moins pour l’hôpital ? Il semble bien qu’il n’y ait pas de petit profit, même pour notre charmante institution !
Par les temps qui courent, il faut donc être très reconnaissant aux sponsors qui trouvent encore le moyen de subventionner nos réunions.
Mille gros mercis à eux, et disons ici le respect que nous avons pour l’industrie pharmaceutique et l’industrie technique qui concourent, elles aussi, au développement de la médecine.
Malgré les difficultés toujours plus grandes auxquelles sont confrontés les organisateurs de congrès, la Société Internationale d’Otoneurologie s’efforce de maintenir, voire d’améliorer le rapport qualité/prix. Et cette année encore, je suis sûr que vous serez toutes et tous extrêmement satisfaits du symposium organisé par Bernard. La seule lecture du pré- programme, avec ses multiples orateurs prestigieux, nous donne une folle envie d’y participer !
Nous nous réjouissons de vous retrouver à Paris ce printemps.
Et les temps sont de plus en plus difficiles. Les sponsors se font de plus en plus rares et sont de moins en moins généreux. Pas tant par leur volonté mais en raison de nouvelles législations. ‘Ces médecins gagnent trop d’argent, profitent trop du système, sont pervertis par leurs fournisseurs’. Et vous les législateurs et politiciens, voyagez-vous, mangez-vous à vos seuls frais ?
La méfiance (mêlée d’un sentiment de vengeance ?) à l’égard des médecins est bien illustrée par les directives de l’institution hospitalo-universitaire genevoise en matière de relations avec l’industrie privée : la direction de notre institution interdit la visite des représentants de maisons pharmaceutiques aux médecins des services hospitaliers ! Pourtant, dans l’exercice de leur profession libérale, une fois installés en pratique privée, les médecins seront un jour confrontés à rencontrer ces représentants, venus leur vanter les avantages de tel ou tel médicament. Ils devront bien alors développer leur sens critique ! Et la médecine n’a-t- elle jamais bénéficié de ses contacts avec l’industrie privée ?
Notre institution ajoute encore que les médecins ont l’interdiction de recevoir les moindres cadeaux de ces ‘représentants- monstres-de-perversion’, … à l’exception de crayons, stylos, ou bloc notes !!! Tiens, tiens, tiens, des dépenses en moins pour l’hôpital ? Il semble bien qu’il n’y ait pas de petit profit, même pour notre charmante institution !
Par les temps qui courent, il faut donc être très reconnaissant aux sponsors qui trouvent encore le moyen de subventionner nos réunions.
Mille gros mercis à eux, et disons ici le respect que nous avons pour l’industrie pharmaceutique et l’industrie technique qui concourent, elles aussi, au développement de la médecine.
Malgré les difficultés toujours plus grandes auxquelles sont confrontés les organisateurs de congrès, la Société Internationale d’Otoneurologie s’efforce de maintenir, voire d’améliorer le rapport qualité/prix. Et cette année encore, je suis sûr que vous serez toutes et tous extrêmement satisfaits du symposium organisé par Bernard. La seule lecture du pré- programme, avec ses multiples orateurs prestigieux, nous donne une folle envie d’y participer !
Nous nous réjouissons de vous retrouver à Paris ce printemps.
Au nom du comité :
Jean-Philippe Guyot
Président
Jean-Philippe Guyot
Président